2019

Dimanche 17 mars 

salon de la SAS

LIRE SUR LA COLLINE

en mairie de Seynod

 

gros succès : ce salon entre dans un ensemble de la FRANCOPHONIE pour laquelle la SAS a beaucoup travaillé :

salon, dictée, promenade poétique dans Annecy, expositon poétique, soirée de l'Echange

Discours de MIchel GERMAIN président de la  SAS

Je me suis dit que je n’allais par rajouter un discours, je vais plutôt vous envoyer un SMS, ou un MMS… MDR !

 

J’ai débloqué l’ABS, c’est dans mon ADN, voire mon ARN. Pour ce faire suis allé sur l’ADSL, chercher une BO, BCBG. Ceci fait, toujours avec deux pouces de plus en plus musclés j’ai prévenu le CA et un CV, envoyés par CEDEX à un CDD… d’une PME, PMI ou d’une TPE. Pas de chance, c’est arrivé chez un DJ de CRS créchant aux EAU !, avec une copine du GIGN. Pas sorti de l’ENA, le bonhomme m’a répondu avec un FAQ, pas un Fax, un Faq branché sur MF avec un GSM/ GMT. Le bougre !

 

Il y avait plein de O dans son truc : OGM ; OGC, OMS ; ONG, ONU, ORL… OVNI tout cela, pour mon faible QI. J’y ai dit RAS, pas de RATP, ni de VIP pour VSD. Merci.

 

Je sais, vous avez tout compris ! Pas moi !

 

         Fou de rage je retourne en enfance. Je ne veux pas vous borriauder, ni m’en croire, simplement vous faire la part de mon étonnement. Né à Annecy au siècle dernier, j’ai toujours cru qu’on parlait français chez moi, même si on disait tous une arrosoire ou un poire. Que nenni !

 

Un jour que je moënnais ou que je couinais, car j’étais magot, je me suis dit pour de bon que la bouerlée était nulle. Vous allez pas me faire une attaque ; laissez moi le temps de passer la panosse, avant de m’envoyer un fion. Chui pas mal fagotté et j’ai pas mal aux piautes. Vous commencer à trouver le temps long ? Vous rentrerez pas à point d’heure. Ah ah, là, c’est pas la même ! Y a des minons sous le lit et un tacon derrière la porte. Faut panosser !

 

Ma grand-mère née en 1880, c’est pas une fenole de rencontre, jamais lourde. Jamais elle brétait ! Quand j’rentrais de l’école un peu sniule, elle me préparait les taillons et parfois elle faisait les bognettes. Y en avait pi pas tant. Mais on bronchait point. C’tait comme çà les zautrefois…

 

Je vais vous laisser coriater, mais zettes point bornallus ! Et comme on dit cheu moi, y a pas le feu au lac. Je vous laisse bin volontiers pataler pour aller mouiller la meule ! Et pi, ya pas de pacot ni de patchioque dans le coin. La mairie n’est pas tant pirate. Minochka y reluque. Baillons un grand maci à la Foëse et à toutes celles et tous qui ont tout fait pour que cette semaine soit une très belle réussite du bon français.

 

Allé arvi a tot…avorvi…

 

Michel Germain

 


Le dimanche 22 septembre s'est déroulé au château de Clermont le salon du Patrimoine

puis la remise des Plumes. Auparavant Christian Monteil président du conseil départemental a été promu Ami de la SAS.

Michel Brocard a reçu la plume de Vermeil des mains de C. Monteil et Mireille Giannini ST Dupont. Michel Germain a reçu la plume d'or des mains de Pierre Lambert Préfet de la Haute-Savoie et de Mireille Giannini.

Ci-dessous trois  textes

1. présentation de Michèle Brocard par Marie Claire Bussat Enevoldsen

2. présentation  de Michel Germain par jean René Farrayre (vice président)

" Réponse de Michel germain

texte de marie claire à venir

PRÉSENTATION DE MICHEL GERMAIN (J.R. Farrayre)

Mesdames, Messieurs, Mon cher Michel,

 

   Comme tu l'avais annoncé de longue date, voici venu le moment de préparer ton départ de la présidence effective de la S.A.S.   Voici venu, aussi, le moment où la S.A.S., par mon truchement, va te remettre la Plume d'or des Auteurs Savoyards.    Cette plume, due au mécénat de la société S.T. Dupont, nous en avons remis –  tu en as remis – plus de 20 en 28 ans... Et celle que tu vas recevoir ne sera certes pas la dernière !   Revenons un instant sur les critères d'attribution de cette Plume d'or : pour se la voir conférer, le récipiendaire doit avoir un lien fort avec la Savoie, il faut aussi qu'il ait contribué directement ou indirectement, de façon remarquable aux Lettres savoyardes et/ou qu'il ait composé une œuvre considérable... Eh bien, mon cher Michel, tous ces critères s'appliquent à toi !

 

   Savoyard de naissance tu fis tes études primaires et secondaires à Annecy, puis à Bonneville où tu eus, un temps, Paul Guichonnet comme professeur. Puis tes études supérieures à l’Institut de Géographie Alpine de Grenoble te conduisirent à l'enseignement de l'histoire-géographie et à l'agrégation de géographie.   Comme beaucoup de Savoyards tu allas voir ailleurs, quelques années, quelque part du côté d'Agadir, pour y enseigner, avant de « retourner, plein d'usage et raison vivre entre les tiens le reste de ton âge ».   C'est alors que tu te consacras, définitivement à l’enseignement, et à l'écriture...

 

  C'est ainsi que, pour ce qui est des Lettres savoyardes, ta contribution aura deux faces : l'écriture, donc, – et j'y reviendrai longuement, et la création de la Société des Auteurs Savoyards qui, aujourd'hui, t'honore.

 

   Tout a commencé en 1991 – à la Roche – par la réunion de 13 « gratte-papier » qui, autour de toi, décidèrent la fondation de notre association. Tu fus alors élu président et tu assumas cette charge depuis cette époque. Je dis bien « assumer cette charge » car maintenir dans la même société une centaine d'auteurs aux personnalités généralement affirmées, aux egos bien constitués et aux susceptibilités pour le moins vives, relève de la « charge » pour ne pas dire de l'exploit – et cependant la durée d'une génération ! Tu y fus aidé par ta très très forte personnalité qui te permit d'affronter les aléas d'un chemin parsemé d'obstacles variés voire de chausse-trappes.   Voilà qui, a soi seul, mériterait déjà une Plume d'or !

 

   Cependant  la raison principale de la remise de cette plume c’est l'ensemble de tes travaux d'auteur.. Il ne sera pas possible de citer ici et maintenant tout ce que tu as produit car il y faudrait la journée : 67 titres ! Cela impose le respect ! Il faudra donc se contenter d'en faire une synthèse succincte.    En voyant large, on peut considérer que tes productions peuvent être rassemblées sous trois rubriques : d'abord la guerre de 39-45 en Haute-Savoie, ensuite tes ouvrages documentaires, enfin les ouvrages d'imagination.

 

   Romans policiers et romans historiques constituent l’essentiel des tes œuvres d'imagination. Mais dans ces livres on retrouve toujours une peu, voire beaucoup, de ce qui te passionne. Le siège de Mouns, par exemple, concerne un lieu de villégiature, dans les montagnes du Var, que tu affectionnes tout  particulièrement ; et Jehan, l'enfant de Dieu, fait, évidemment, référence à l'Histoire. Cependant ce n'est pas dans ce domaine que tu es le plus connu.

 

   Avec les ouvrages documentaires – qui concernent d'abord la Savoie (qu'elle soit haute ou non) et le Var, tu as touché un large public de lecteurs. Ces très nombreux ouvrages, parfois écrits en participation, visent à faire connaître  ces régions dans toutes leurs dimensions : dans le passé avec La Haute-Savoie autrefois, par exemple, ou dans le présent avec Annecy, son .lac et ses montagnes ou Découvrir le Pays de Fayence.. L'ensemble de ces ouvrages – que les libraires rangent souvent dans la catégorie de « beaux livres » en raison de leurs riche iconographie – constituent la plus belle des participations à la « défense et  illustration » du patrimoine régional, que cette journée du 22 septembre célèbre aussi.

 

   Toutefois, c'est avec tes livres historiques que tu as conquis un très très large public de lecteurs en Haute-Savoie. En particulier ta Chronique de la Haute-Savoie pendant la seconde guerre mondiale, constituée de 6 forts volumes, maintes fois réédités, à laquelle il faut rajouter une dizaine d'autres livres sur des thèmes analogues, a instruit et touché un si grand nombre de lecteurs que ton nom est connu dans l'ensemble de notre département – et certainement bien au-delà !   Cet ensemble constitue une somme impressionnante sur cette période qui nous fut proche, et qui inexorablement s'éloigne de nous. Elle servira naturellement à l'édification des plus jeunes...   Cet ensemble constituera, aussi, un maillon, non pas définitif – en Histoire rien n'est jamais définitif, on le sait bien –  mais essentiel pour faire connaître les « hauts faits et gestes » ( Res gestae divi Augusti ...) de celles et ceux qui se sont sacrifiés durant cette époque de ténèbres pour qu'aujourd'hui nous puissions vivre dans la lumière de la Démocratie. Ajoutons que les témoignages des femmes et des hommes – dont beaucoup ont disparu – que tu as recueillis , resteront fondamentaux pour les recherches historiques futures.

 

   C'est d'ailleurs sur ce dernier point que je terminerai cet « éloge panégyrique » – on prendra le terme « panégyrique » non comme une boutade, mais plutôt comme une

 

référence à nos ancêtres grecs et romains qui le pratiquaient assidûment et, après tout, nous sommes ici entre historiens, littéraires et politiques, alors...   Il me reste à conclure, donc, en évoquant un point un peu particulier:les auteurs se posent parfois une question existentielle :« Que restera-t-il de tout ce que j'ai écrit ? » Si l'on est lucide et si l'on regarde en arrière ce qui perdure de ceux qui furent au devant de la scène, disons il y a de cela 50 ans, si l'on est lucide la réponse sera, sans aucun doute : « pas grand-chose, voire rien du tout ! »   Hé bien, mon cher Michel, j'ai la certitude qu'à cette question tu peux avoir une réponse bien différente car tous tes travaux sur la guerre 39-45 perdureront et je gage que dans un siècle ils figureront non seulement dans les bibliographies mais aussi dans les lectures de ceux qui voudront découvrir et comprendre cette période !

 

   Que cette magnifique Plume d'or, fabriquée en Savoie, t'engage à continuer ton œuvre par de nombreux volumes qui raviront tes tout aussi nombreux lecteurs !

 

 

RÉPONSE DE MICHEL GERMAIN

Remerciements

 

 

 

Cette Plume d’or, c’est pour moi tout à la fois beaucoup de fierté et encore plus une très grande émotion.

 

 

 

De la fierté tout d’abord. En me remettant cet honneur, vous me rapprochez un peu plus de mes amis Charles SOCQUET, Marie Thérèse HERMANN, Jean Vincent VERDONNET ou Paul GUICHONNET, que tous vous avez, tout comme moi, très appréciés.

 

De la fierté encore de me voir aux côtés de Jean Nicolas, Jean Bertolino, Michèle Tourneur, Chaoying Durand-Sun, Christophe Barbier, Jean Olivier Viout, Valère Novarina, Jacques Ancet et Jean Pierre Spilmont, ou bien encore de John Berger, Henri Baud, Gilbert Durand, Joseph Joffo, Louis Terreaux, et Michel Butor aujourd’hui disparus. Bien sur, je n’oublie pas Jean Christophe Rufin !

 

Me voilà bien entouré, mais rassurez vous, tout cela n’est pas un fin en soi. L’écriture me tenaille toujours, à chaque levé du jour ! La preuve ! je viens de commettre mon 67è bouquin et j’en ai encore plus d’une quinzaine dans les tiroirs ! Mais encore une fois, il n’y a pas là matière à vouloir rattraper un guépard dans le cratère du Ngorongoro !

 

 

 

            Une très grande émotion, ai-je dit.  Vous ne pouvez imaginer ce qui se passe au fond de moi.

 

Tout d’abord, voilà plus de trente cinq ans que j’ai commencé à écrire sur notre histoire récente et je voudrais dédier cette Plume d’or à tous les résistants et déportés rencontrés depuis. Ils m’ont fait une très grande confiance, certains sont même devenus des amis, et j’ai, en ce moment, une pensée toute particulière pour Lucien Colonel, Flora Saulnier, Angèle Nicollet, Louis Jourdan ou Lucien Bollard. Tous mes amis sont partis au Paradis des résistants ! Je leur ai peut-être un peu rendu hommage, mais j’ai surtout voulu, avec eux, transmettre cette mémoire, ciment de notre Nation.  Inconsciemment, je me suis investi de cette mission pour la transmission de notre mémoire ; travail de connaissance tout d’abord et travail de mémoire ensuite. Ceci dit, au fond je n’ai rien fait que très banal pour un enseignant!

 

 

 

Permettez-moi cependant de rendre hommage à Jacques Bourdon, éditeur de son état qui, avec la Fontaine de Siloé, a compris mon engagement qui fut très rapidement le sien. Si bien que, grâce à lui, la Haute-Savoie bénéficie d’une production incroyable sur ces années 1939-45 et de fait, cela a engendré beaucoup de vocations d’historiens locaux qui, depuis,  se sont lancés dans notre histoire.

 

 

 

Et puis, très forte émotion enfin, grâce vous tous sociétaires de la SAS. Voilà trente ans, on s’est lancé dans une histoire un peu insensée, peut-être un peu folle, mais je crois que nous avons réussi et vous m’avez tous donné beaucoup de bonheur, même si tout ne fut pas rose tous les jours.

 

Je voudrais remercier du fond du cœur toutes celles et tous ceux qui ont œuvré pour la SAS, et sans qui nous ne serions pas là : les amis de la SAS bien sûr, honorés comme tels, mais pas que… tout le personnel municipal de la  commune de Seynod, le Conseil départemental de la Haute-Savoie et ses présidents successifs, la société ST Dupont et surtout Louis Chamoux et  Mireille Giannini et vous tous mes amis…

 

De très forts et tout particuliers remerciements à tous les membres du CA qui depuis 30 ans, pour certains, inlassablement font marcher la boutique et elle marche bien.

 

Merci à tous, pour ces joies et ce bonheur  et en plus tout cela le jour de mon anniversaire !  Bonne journée à tous…

 

22 septembre 2019 Clermont

 


Discours francophonie (17 mars 2019)

 

 

 

Je me suis dit que je n’allais par rajouter un discours, je vais plutôt vous envoyer un SMS, ou un MMS… MDR !

 

J’ai débloqué l’ABS, c’est dans mon ADN, voire mon ARN. Pour ce faire suis allé sur l’ADSL, chercher une BO, BCBG. Ceci fait, toujours avec deux pouces de plus en plus musclés j’ai prévenu le CA et un CV, envoyés par CEDEX à un CDD… d’une PME, PMI ou d’une TPE. Pas de chance, c’est arrivé chez un DJ de CRS créchant aux EAU !, avec une copine du GIGN. Pas sorti de l’ENA, le bonhomme m’a répondu avec un FAQ, pas un Fax, un Faq branché sur MF avec un GSM/ GMT. Le bougre !

 

Il y avait plein de O dans son truc : OGM ; OGC, OMS ; ONG, ONU, ORL… OVNI tout cela, pour mon faible QI. J’y ai dit RAS, pas de RATP, ni de VIP pour VSD. Merci.

 

Je sais, vous avez tout compris ! Pas moi !

 

         Fou de rage je retourne en enfance. Je ne veux pas vous borriauder, ni m’en croire, simplement vous faire la part de mon étonnement. Né à Annecy au siècle dernier, j’ai toujours cru qu’on parlait français chez moi, même si on disait tous une arrosoire ou un poire. Que nenni !

 

Un jour que je moënnais ou que je couinais, car j’étais magot, je me suis dit pour de bon que la bouerlée était nulle. Vous allez pas me faire une attaque ; laissez moi le temps de passer la panosse, avant de m’envoyer un fion. Chui pas mal fagotté et j’ai pas mal aux piautes. Vous commencer à trouver le temps long ? Vous rentrerez pas à point d’heure. Ah ah, là, c’est pas la même ! Y a des minons sous le lit et un tacon derrière la porte. Faut panosser !

 

Ma grand-mère née en 1880, c’est pas une fenole de rencontre, jamais lourde. Jamais elle brétait ! Quand j’rentrais de l’école un peu sniule, elle me préparait les taillons et parfois elle faisait les bognettes. Y en avait pi pas tant. Mais on bronchait point. C’tait comme çà les zautrefois…

 

Je vais vous laisser coriater, mais zettes point bornallus ! Et comme on dit cheu moi, y a pas le feu au lac. Je vous laisse bin volontiers pataler pour aller mouiller la meule ! Et pi, ya pas de pacot ni de patchioque dans le coin. La mairie n’est pas tant pirate. Minochka y reluque. Baillons un grand maci à la Foëse et à toutes celles et tous qui ont tout fait pour que cette semaine soit une très belle réussite du bon français.

 

Allé arvi a tot…avorvi…

 

Michel Germain


 

 

 

ASSEMBLEE GENERALE du 2 mars à la mairie de Seynod

29è AG, le 2 mars 2019 Seynod

 

RAPPORT MORAL

            C’est toujours pour moi un grand honneur de présider notre société d’auteurs et par voie de conséquence cette assemblée générale. Je voudrais tout d’abord remercier vigoureusement la Municipalité de Seynod au moment où de grands chambardements sont en cours.

           2018 a été une année semblable aux précédentes ; une année, vous allez le voir, pleine d’activités tant de la SAS proprement dite que du CPR. Nous restons fidèles à l’article 2 de nos statuts qui dit notamment : « L’association a pour objets de promouvoir et de défendre le livre, la lecture et les arts, de promouvoir les auteurs membres de l’association… de développer et d’enrichir les relations conviviales entre les membres de la dite association. »

Nos multiples activités vont dans ce sens et nous n’avons en rien renié nos engagements de 1991.

Certes on peut toujours faire plus et mieux. Mais heureusement qu’une vingtaine de membres sont hyper actifs. Et je voudrais les remercier pour la vous et pour la SAS : les deux vices présidents (Jean René Farrayre et Roger Moiroud) le secrétaire (Jean Paul Cléret, le trésorier Jean Claude Bibloque très sollicité.

Marie Jo Thabuis qui gère merveilleusement bien le CPR,

Didier Waret qui malgré son travail nous fabrique (entre autre) Point à la Ligne, Ornella Venturini qui gère de main de maitresse les Vendredis de la SAS et Jean Brenas qui a pris à bras le corps la francophonie,

Marine Marsat qui va réussir, n’en doutons pas un 29è Printemps magnifique,

Sans oublier Bernard Prêtre, Jean Travers, Léo Gantelet, Michel Berthod, Marianne Henriet la reine du sponsoring et Christian Philippe-Janon correspond de presse efficace. Je voudrais vous dire à tous combien vous nous comblez. Et chez moi, vous savez que ce n’est pas du vent !

 

            Quand je dis qu’on peut faire mieux, c’est parce qu’on a toujours le secret espoir de vous voir nous rejoindre. Nous vous avons tous contacter par malle poste : une quarantaine de réponses seulement pour 118 sociétaires ! Que faut-il en penser, que fait-il en déduire ?

Chacun peut apporter sa pierre à l’édifice. La SAS a besoin de vous tous et je m’adresse là surtout à celles et ceux qu’on ne voit jamais. Cette année, nous avons été obligé de lancer une vaste consultation par malle poste pour nous mettre à jour (cotisations, adresse courriel ou autres). J’espère qu’ainsi nous avons « réveillé » quelques un(e)s, d’entre vous.

            Ceci-dit, je suis et nous sommes tout d’un optimisme grandissant quand on mesure le chemin parcouru. Mais ne dormons pas sur nos lauriers. La SAS doit encore grandir et s’affirmer davantage. Je compte sur vous tous.

 

Michel GERMAIN (président)

Chevalier dans l’Ordre national du Mérite,

Officier dans l’ordre des Palmes académiques

Membre associé de l’Académie de Savoie

Lt. Colonel de la Gendarmerie (RC)

 


RAPPORT D’ACTIVITÉ 2018

 

 DE LA SOCIÉTÉ DES AUTEURS SAVOYARDS

 

 

 

L’année 2018 a été riche en évènements. Lors de l’Assemblé générale du 3 mars 2018, nous avons accueilli parmi nous : Mélanie Fantuzzo, Jean Brenas, Jean-André Rochas ; Jean-Claude Maritaud, Thierry d’Asnières de Veigy.

 

 

 

1.     Dans le cadre de la semaine de la francophonie, la SAS a été bien présente :

 

Au concours de dictée avec Georgette Chevallier, Michel Berthod et Jean-Claude Bibloque. Avec le concours de poésie organisé par le CPR et son spectacle Miroir des mots, au théâtre Renoir le 21 mars

 

Le salon du livre Lire sur la colline débuta le samedi 24 mars à 16 heures et à 19 heures la conférence de Jacques Mény, président de la Société des Amis de Jean Giono avec  Le cinéma de Giono. Le salon reprendra le dimanche de 10 h. à 18h avec la remise des prix des concours de dictée et de poésie adulte et enfant. A ce propos nous adressons un grand merci à Didier Warret pour la réalisation du Point à la ligne, mais qui réalise également tous les diplômes offerts à l’occasion des concours. La faible fréquentation nous a amené à reformuler son cadre et son contenu.

 

2. Le Printemps du livre eut lieu à Seyssel le dimanche 8 avril de 10 h. à 18h.

 

Un concours de poésie pour les enfants avec une intervention dans les écoles de Madeleine Covas, Solange Jeanberné et Michel Berthod aura été une belle réussite. Madeleine Covas se voit décerner la plume de Cœur pour Seules les pierres le savaient et Pierre Hoffmann le prix de  la ville de Seyssel pour Trois frères.

 

Le salon du livre est une réussite mitigée pour des questions d’organisation et sur le fond, du but de ces salons du livre. Une réflexion est engagée au sein du C.A. pour faire évoluer l’organisation de cette manifestation. Une bonne nouvelle : grâce au dynamisme de Martine et Jacky Marsat, le printemps du livre de Novalaise le 8 avril 2019 devrait être une belle réussite : venez nombreux.

 

3. Le dimanche 17 septembre au château de Clermont, un salon du livre de la SAS, qui fut une réussite pour les auteurs, fut l’occasion de la remise de la plume de vermeil à Marie-Jo Thabuis (avec un éloge prononcé par Jean-Paul Cléret) et à Léo Gantelet (avec un éloge prononcé par Ornella Venturini).

 

4. Cette année 2018 aura aussi vu la parution du nouvel annuaire des auteurs de la Société des Auteurs Savoyards ainsi qu’un Point à la Ligne sous l’impulsion et le travail considérable de notre président Michel Germain et de Didier Waret.

 

5. Enfin, les vendredis de la SAS ont eu lieu :

 

Le 16 février avec Marie-Pierre Bicheler (la coutellerie de Haute-Marne)

 

Le 9 mars : Ornella Venturini (Panorama sur les contes et nouvelles en France, en Italie et bref regard sur l’Europe)

 

Le 14 septembre : Georgette Chevallier (légendes des pays d’Annecy)

 

Le 31 octobre : Les Amis du Vieux Seynod (lectures de Contes). Un certain nombre de dysfonctionnements nous ont amené à proposer à Ornella Venturini qu’elle soit la personne référente auprès des Amis du Vieux Seynod, ce qui nous permet aujourd’hui que tout se passe bien. Qu’Ornella en soit remerciée.

 

Je vais donc maintenant passer la parole à Marie-Jo Thabuis pour le rapport d’activité du Cercle des Poètes Retrouvés.

 

 

 

Le secrétaire

 

Jean Paul Cleret